
L'e-commerce poursuit sa croissance, c’est ce que rapporte la dernière étude menée par la Fevad et publiée le 3 juillet 2025. Parmi les grandes tendances qui ont marqué la vente en ligne en 2024, l’essor des marketplaces poursuit sa progression.
En 2023, près d’un tiers des achats en ligne en France transitaient par ce type de plateforme. Selon la Fevad, "31 % du chiffre d’affaires du e-commerce français est désormais généré via les marketplaces". Ce chiffre illustre un glissement structurel, où e-boutiques et places de marchés cohabitent pour toujours plus de rendement.
Face à l’abondance de ces canaux de vente, quel positionnement stratégique adopter et comment faire le meilleur choix pour son business en ligne ? Cet article vous propose justement un éclairage à propos des nombreuses places de marché qui coexistent sur le web pour que vous puissiez continuer de performer tout en restant alignés avec vos enjeux commerciaux.
L’essor des marketplaces ne repose pas sur un effet de mode. Pour beaucoup de vendeurs en ligne, elles représentent une stratégie commerciale efficace et un relais de croissance, parfois plus rentable que l’exploitation d’un site indépendant seul. Plusieurs raisons expliquent ce phénomène.
Lancer un site e-commerce prend du temps et obtenir du trafic qualifié via le référencement naturel demande généralement plusieurs mois. A contrario, une marketplace, met à disposition une clientèle déjà installée. La plupart de celles déjà bien connues en France, drainent des millions de visiteurs chaque mois et proposent aux commerçants une exposition instantanée, dès la mise en ligne des fiches produits.
En comparaison d’autres canaux d’acquisition, une marketplace attire principalement des visiteurs venus pour acheter. L’intention y est plus élevée, car les internautes se rendent très souvent sur ces plateformes pour pouvoir comparer, consulter les avis clients, utiliser les filtres et critères de recherche, voire la suggestion automatique. Tous ces leviers facilitent leur prise de décision.
Une étude Mirakl (2023) indique que le taux de conversion moyen sur une marketplace atteint 8,6 %, contre 2,5 % sur un site e-commerce classique.
Les marketplaces ont l’avantage de prendre en charge une grande partie de la structure technique habituellement assurée par un site e-commerce : moyens de paiement sécurisés, service client, logistique avec livraison en express, traitement des retours, gestion des litiges.
Vous gagnez alors du temps pour vous concentrer sur vos produits, votre offre, votre catalogue. Certaines plateformes, comme Cdiscount ou Fnac, proposent même des outils d’analyse des ventes pour ajuster les prix ou anticiper les ruptures de stock.
Vendre sur une marketplace facilite certainement l’entrée sur un marché, mais ce modèle impose toutefois des règles strictes. En effet, les commissions peuvent atteindre jusqu’à 20 % selon les catégories de produits, sans compter les frais de stockage, de publicité ou d’abonnement.
La concurrence reste également forte, notamment sur les marketplaces généralistes où les prix s’alignent à la baisse.
Enfin, attention à ne pas dépendre d’une seule plateforme pour votre chiffre d’affaires en ligne ! Une suspension de compte ou une mauvaise note pourrait entraîner des pertes financières immédiates.
Le choix d’une marketplace pour vendre ne dépend pas uniquement du volume de trafic. Il repose aussi sur la nature des produits, la concurrence et les habitudes d’achat des utilisateurs. Deux modèles dominent aujourd’hui le marché : les marketplaces généralistes et les marketplaces spécialisées.
Amazon, Cdiscount, Fnac, Rakuten… Ces plateformes accueillent des millions de visiteurs chaque mois. Elles couvrent l’ensemble des univers produits : électroménager, vêtements, articles de sport, jeux vidéo, mobilier, alimentation, livres, high-tech. Ce modèle attire généralement les vendeurs à la recherche d’une audience large et active.
Amazon reste la référence en la matière, avec près de 200 millions de visites par mois en France (source : Similarweb, 2023). La marketplace s’adapte à tous les types de vendeurs, du grand compte à l’artisan indépendant. Les produits les plus populaires sur ce type de plateforme relèvent souvent des catégories suivantes : high-tech, maison, sport, hygiène, jouets, ou encore mode basique. Cdiscount, très ancré en France, affiche une bonne performance sur les produits électroménagers, l’ameublement et le bricolage.
La force de ces marketplaces généralistes réside dans leur puissance marketing et leur capacité à attirer un flux constant de clients. En contrepartie, la concurrence y devient plus dense. Les vendeurs doivent alors souvent aligner leurs prix, soigner leurs fiches et surveiller les frais de vente pour continuer à tirer leur épingle du jeu.
À l’inverse, une marketplace spécialisée limite son offre à un seul univers ou segment. ManoMano se concentre sur le bricolage et le jardin. Etsy valorise l’artisanat et la création. Back Market s’impose comme référence sur les produits électroniques reconditionnés. Cette orientation sectorielle crée un avantage : la plateforme attire un public qualifié, avec une attente claire et un comportement d’achat ciblé.
Sur Etsy, par exemple, les clients recherchent des objets faits main ou personnalisés : papeterie, bijoux, décoration, illustrations, vêtements cousus à la commande. Sur Back Market, la promesse de durabilité attire des consommateurs attentifs à l’environnement et sensibles aux économies réalisées.
Le vendeur y trouve une audience plus engagée, souvent prête à valoriser la qualité ou l’originalité du produit. Les prix ne subissent pas les mêmes pressions qu’en marketplace généraliste, même si l’exigence éditoriale reste forte (visuels, descriptifs, réputation, etc.).
Une marketplace se sélectionne comme un partenaire stratégique. Elle ne se résume pas à son nom ou à son audience. Plusieurs critères doivent guider votre choix, sous peine d’opter pour une plateforme mal alignée avec vos besoins réels.
Voici quatre paramètres à prendre en compte avant toute décision.
1. Le type de produits à vendre : standard, unique ou reconditionné
Tous les produits ne trouvent pas leur place sur toutes les marketplaces. Certains sites privilégient les objets personnalisés ou artisanaux, comme Etsy. D’autres se concentrent sur les articles reconditionnés (Back Market) ou de seconde main (Vinted, eBay).
Un commerçant qui vend des vêtements vintage de marques recherchées s’orientera plus naturellement vers eBay ou Vinted. À l’inverse, une boutique de bijoux sur mesure ou de papeterie illustrée gagnera en visibilité sur Etsy, dont la communauté valorise les créations originales.
Les produits technologiques remis à neuf rencontrent un bon accueil sur Back Market. De leur côté, les produits neufs standardisés – comme les jeux vidéo, les livres ou les petits appareils électroménagers – conviennent davantage aux marketplaces généralistes comme Fnac ou Cdiscount. |
2. Le coût d’entrée : abonnements, commissions, frais additionnels
Chaque marketplace applique un modèle tarifaire spécifique. Il comprend généralement une commission sur les ventes, parfois sur les paiements aussi, un abonnement mensuel et en option des frais logistiques ou marketing. Ces montants pèsent directement sur la marge des e-commerçants.
Le coût devient un facteur décisif selon la nature de votre offre. Une activité avec de faibles marges nécessitera une vigilance accrue sur les commissions. À l’inverse, un produit à forte valeur ajoutée peut absorber un pourcentage plus élevé de commissions si la plateforme garantit un bon volume de ventes. |
3. La cible client : B2B, B2C, France ou international ?
Certaines marketplaces s’adressent uniquement à des particuliers. D’autres visent les professionnels, comme par exemple, Amazon Business, Ankorstore ou ManoMano Pro.
Un fabricant de papeterie haut de gamme pour les entreprises trouvera plus d’intérêt à intégrer une marketplace B2B, capable de lui générer des commandes récurrentes et un volume de vente adapté. Ankorstore, par exemple, connecte plus de 300 000 revendeurs indépendants en Europe avec des marques spécialisées.
La dimension géographique compte aussi. Un vendeur de jouets en bois qui souhaite viser l’Allemagne s’orientera vers eBay ou Amazon Allemagne. L’infrastructure logistique de ces plateformes facilite l’expédition transfrontalière, souvent avec un support client localisé. |
4. L’accompagnement proposé par la plateforme
Toutes les marketplaces ne proposent pas le même niveau d’assistance. Certaines se limitent à une interface vendeur basique, quand d’autres mettent à disposition un support technique, des outils d’analyse de la performance ou un conseiller dédié.
Back Market, par exemple, propose un suivi personnalisé à ses marchands partenaires, notamment pour garantir un taux de satisfaction élevé. Cdiscount, quant à lui, propose des campagnes marketing sponsorisées, accessibles depuis son espace vendeur. Ces outils permettent de booster les ventes, à condition de bien maîtriser leur fonctionnement.
Privilégiez une marketplace qui pourra bien vous former et vous conseiller afin de gagner en visibilité. Le but reste de rentabiliser votre adhésion à la plateforme et d’y trouver une source de chiffres d’affaires annexe qui soit rentable pour votre business |
Le marché des marketplaces ne cesse d’évoluer. Certaines plateformes dominent par leur trafic, d’autres séduisent par leur spécialisation ou leur modèle économique. Tour d’horizon des principales marketplaces où vendre ses produits aujourd’hui.

Amazon reste la marketplace la plus fréquentée en France. Actuellement le site enregistre plus de 180 millions de visites mensuelles d’après les chiffres rapportés par Similarweb.
En outre, dans l’une de ces dernières actualités, Amazon indique que « En 2023, 80 % des PME françaises présentes sur Amazon ont réussi à développer leur activité à l’export, générant plus de 900 millions d'euros de ventes à l'international, une croissance de plus de 15 % par rapport à 2022 ».
Le potentiel de visibilité dépasse largement celui d’un site e-commerce indépendant. Tous les types de produits y figurent, des livres aux accessoires automobiles, en passant par l’électronique ou les fournitures de bureau.
Mais cette visibilité a un coût. La commission moyenne atteint entre 8 et 15 %, selon les catégories. Les vendeurs qui optent pour la logistique Amazon (FBA ou « Fulfillment by Amazon » autrement dit « Expédié par Amazon ») doivent aussi intégrer les frais de stockage et d’expédition. Par ailleurs, la plateforme applique des règles strictes sur la qualité des fiches produits, les délais de livraison et les retours.
Pour un petit e-commerçant, Amazon peut devenir une source de croissance… ou de stress. Le volume de trafic reste attractif, mais la concurrence se montre rude. Une gestion rigoureuse du service client et des stocks s’impose pour espérer maintenir sa place.

Cdiscount affiche un positionnement plus local. La plateforme figure parmi les leaders du e-commerce en France, avec près de 30 millions de visites mensuelles. Elle attire des acheteurs sensibles au rapport qualité-prix. Les produits électroniques, le petit électroménager, l’ameublement ou le jardin y rencontrent une forte demande.
La marketplace propose un modèle économique clair : commission de 15% (sauf exception sur certaines catégories de produits), abonnement mensuel fixe, outils de promotion à la carte. Cdiscount offre aussi une logistique maison avec Cdiscount Fulfillment. Les marchands bénéficient d’un tableau de bord simple, d’un service client en français, et d’un public plus ciblé que sur Amazon.
Pour les vendeurs positionnés sur des gammes accessibles, Cdiscount peut représenter une belle porte d’entrée vers un public français fidèle.

Suite à l’acquisition de Darty par la Fnac en 2026, les deux enseignes ont mutualisé leurs marketplaces. L’offre s’adresse en priorité aux vendeurs d’objets culturels (livres, CD, jeux vidéo), de high-tech, d’électroménager ou de téléphonie. La plateforme qui recense 29 millions de visites mensuelles, sélectionne rigoureusement ses partenaires. Les produits doivent répondre à des critères de qualité précis, notamment sur les délais, la conformité et la gestion des retours.
Les commissions varient selon les catégories de produits, mais restent comprises entre 7 et 15 %. L’abonnement mensuel avoisine les 40 €. Les vendeurs profitent de la notoriété des deux enseignes, de leur programme de fidélité, et d’un espace dédié pour promouvoir leurs produits.
Fnac-Darty se positionne donc sur une gamme exigeante. Un marchand qui propose des produits tech fiables ou des jeux vidéo en édition limitée pourra tirer profit de cette plateforme sélective.

Rakuten France adopte une approche différente. Moins saturée qu’Amazon, la marketplace japonaise mise sur la relation client auprès de ses 9 millions de visiteurs mensuels. Chaque achat rapporte des points, à dépenser lors d’une prochaine commande. Ce système favorise la récurrence et la fidélité.
Les vendeurs y trouvent une interface souple, une politique tarifaire transparente (commission autour de 8 à 21 % selon le plan choisi et les articles vendus), et un accompagnement accessible. Rakuten accueille aussi bien les produits neufs que reconditionnés ou culturels. Les articles high-tech, les consoles, les téléphones, les livres ou les mangas s’y vendent bien.
Pour un marchand qui souhaite développer une clientèle récurrente, Rakuten propose une alternative stable, moins exposée à la volatilité d’Amazon.

Etsy reste incontournable pour les produits personnalisés, faits main, vintage ou artistiques. La marketplace attire une clientèle sensible au design, à la fabrication artisanale, à la rareté. Aucun abonnement n’est requis, mais des frais fixes de mise en ligne (0,20 $ par fiche) s’ajoutent à une commission de 6,5 % sur chaque vente. Pour plus de détails, vous pouvez consulter l’aide en ligne directement ici.
De nombreux créateurs français ont développé une visibilité à l’international via Etsy. Une boutique d’illustrations réalisées à la main, un atelier de bougies personnalisées ou une marque de vêtements cousus en petite série y trouvent leur public.
Etsy séduit par son esprit communautaire, son moteur de recherche orienté inspiration et sa capacité à valoriser l’unicité. Mais les standards restent exigeants : photographies, description, packaging, avis… rien ne peut être négligé.

Back Market s’est imposé sur le marché du reconditionné avec une stratégie claire : rassurer les 20 millions de visiteurs mensuels sur la qualité. Les vendeurs partenaires doivent respecter une charte rigoureuse. Chaque produit est vérifié, testé, garanti. La plateforme met en avant la transparence et le service client.
Les produits high-tech, les smartphones, tablettes ou ordinateurs reconditionnés s’y vendent très bien. Les commissions varient selon les catégories, généralement entre 10 et 20 %. En retour, les vendeurs accèdent à une base d’acheteurs engagés, sensibles aux économies et à l’impact environnemental.
Pour un commerçant spécialiste du reconditionné, Back Market reste une référence. L’exigence de qualité technique devient une condition d’entrée, mais la confiance générée par la marque permet de justifier les prix.

ManoMano cible un univers précis : bricolage, outillage, jardin. La plateforme attire aussi bien les particuliers que les artisans et professionnels. Elle affiche environ 10 millions de visites mensuelles et travaille avec des vendeurs spécialisés capables de répondre à des demandes techniques.
Les frais varient selon le volume d’affaires. Comptez des commissions allant de 15% à 25% selon catégorie de produit, ainsi qu’un abonnement mensuel fixe d’environ 100 € et d’un accompagnement personnalisé selon le profil du marchand. ManoMano propose également une version Pro, dédiée aux professionnels du bâtiment.
Un site e-commerce spécialisé dans les abris de jardin, les tondeuses ou les fixations murales y trouvent un public plus ciblé qu’Amazon. Moins de concurrence générique, plus de profondeur de catalogue.
La tentation de vendre sur plusieurs marketplaces s’explique facilement. Chaque plateforme attire son propre public et donne accès à une audience plus large encore. En multipliant les canaux d’acquisition, vous pouvez toucher différents segments d’acheteurs, élargir votre visibilité et diversifier vos sources de revenus.
Un produit référencé à la fois sur Amazon, Cdiscount et Rakuten gagne en exposition. Les moteurs internes de chaque marketplace génèrent du trafic indépendant. Une fiche bien rédigée sur Etsy ne concurrencera pas une page optimisée sur Amazon ou Mano Mano. Un positionnement multicanal permet de tester (voire valider) les performances d’un même produit auprès de publics cibles variés.
Pour ne pas mettre en péril votre stratégie commerciale, il est recommandé dans tous les cas de ne pas dépendre d’une seule marketplace. Comme évoqué plus haut, la concurrence est rude sur ces différentes plateformes et vous n’avez pas la main sur les politiques tarifaires appliquées.
Toutefois, il existe des solutions pour vous épargner le casse-tête d’une gestion dissociée sur chaque place de marché. Les gestionnaires et intégrateurs de flux sont, à ce titre, de précieux outils pour optimiser votre temps et votre business !
La solution passe souvent par un outil capable de regrouper les flux. Notre CMS Shop Application propose justement ce type de passerelle en partenariat avec Beezup, Iziflux, Lengow ou encore Shoppingfedd.
Dans votre espace d’administration, vous continuez de piloter vos stocks, vos fiches produits et les commandes, même celles issues de plusieurs marketplaces. Vous conservez ainsi une vue globale de vos ventes, sans multiplier les saisies.
Cette approche offre un double avantage : elle réduit les erreurs et vous libère du temps pour peaufiner votre stratégie e-commerce. Une boutique qui veut étendre sa présence en ligne sans alourdir sa charge administrative peut ainsi envisager le multicanal avec cette méthode.
Référencer ses produits sur une marketplace demande plus que quelques clics. Chaque plateforme impose ses règles, ses formats et ses attentes. Avant toute chose, il faut préparer son terrain, comme pour toute stratégie commerciale sérieuse.
Chaque marketplace impose ses conditions et bonnes pratiques de vente aux e-commerçants : titre court, description détaillée, photos de qualité, mots-clés pertinents sont tout autant de critères que vous devez respecter pour avoir le droit de figurer sur la marketplace choisie.
Amazon ou Cdiscount, par exemple, évaluent les fiches sur leur clarté et leur taux de conversion. Une image floue ou un descriptif trop vague entraîne un déréférencement partiel, voire total de leur plateforme.
Le niveau de détail doit refléter les attentes des clients. Taille, matière, compatibilité, instructions… toutes les éventuelles questions que se posent les futurs acheteurs doivent trouver réponse sur votre fiche article afin de les convaincre d’ajouter votre produit dans leur panier.
Une marketplace engage le vendeur sur des délais, un service après-vente et des conditions de retour précises. Les acheteurs attendent des réponses rapides et des envois fiables. Un produit annoncé comme « expédié sous 24 h » doit effectivement quitter l’entrepôt le lendemain.
Il faut donc vérifier ses stocks, sa chaîne logistique, ses partenaires de transport. Une promesse mal tenue dégrade les performances du compte vendeur.
Les premiers avis conditionnent les suivants ainsi que la popularité et le taux de conversion de vos produits sur la plateforme choisie. Une commande bien livrée, un produit conforme, une réponse rapide à une question… Tous ces éléments nourrissent la confiance des utilisateurs et apporte une preuve sociale de votre sérieux.
Qui plus est, les marketplaces tendent à mettre en avant les vendeurs mieux notés. Et n’oubliez pas que les acheteurs peuvent également recourir à des filtres de recherche, proposant notamment une sélection de résultats en fonction de la note attribuée au produit.
Vous l’aurez compris, il existe une multitude de marketplaces aujourd’hui et le choix ne manque pas pour diversifier son business en ligne ! Mais plutôt que de vous demander « où dois-je vendre ? », interrogez-vous sur « quelle marketplace mettra le mieux en avant mon offre ? ».
Ne vous interdisez pas de tester plusieurs plateformes à la fois. Mais allez-y progressivement afin de vous familiariser avec ces écosystèmes bien ficelés et n’oubliez pas d’utiliser un agrégateur de flux pour vous faciliter la vie d’un point de vue logistique.
Enfin, gardez un œil sur les performances de vos ventes pour ajuster au fil de l’eau votre stratégie commerciale et neutraliser au mieux la concurrence, toujours rude sur ces plateformes.
Face à la diversité des marketplaces, les opportunités sont réelles. Toutefois, le défi consiste à trouver celles qui parlent à vos clients… sans faire trop de compromis sur vos marges ni sur vos priorités métier.
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